32 – 89400 Migennes
Le vendredi 22 février 2008 par Nykmer OrenSéparés depuis à peine 5 mois, c’est tout bondissant que je retrouve notre illustre pelucheux pour que l’on vive ensemble les plus merveilleuses aventures… encore une fois.
Sitôt les retrouvailles faites, nous embarquons à bord d’un 20m² aux senteurs de gasoil et dont le doux ronronnement du moteur rend difficile toute conversation si l’on tient à ses cordes vocales. Friedrich, bercé, s’endort alors que nous entamons notre route vers une destination qui nous promet exotisme et dépaysement: Migennes!
Pour les rares d’entre vous qui ne sauraient pas où se trouve Migennes, c’est dans l’Yonne (L’Yonne plus connue pour son élevage de serial killers que pour ses vins).
Nous arrivons à Migennes, et commençons la visite par le centre névralgique de la ville, et les hauts lieux de communication inter-cités comme La Poste, par où transitent tous les courriers, télégrammes et pigeons voyageurs.
Puis le Bar PMU Brasserie…
A ne surtout pas confondre avec le Bar Snack Brasserie!
Malheureusement, plus de batterie dans l’appareil pour prendre une photo devant le célèbre boucher…
A peine arrivés que, l’ourson est débordé…
Migennes, la ville de tous les possibles: « Friedrich Superstar, Première ! »
Au détour d’une avenue, Friedrich est repéré par l’oeil d’une jeune réalisatrice. Il se retrouve donc sur le tournage de « Chimères », un court métrage au budget colossal.
Un petit tour par l’essayage de costumes, le maquillage et la coiffure…
Un petit coup d’oeil au story-board et Friedrich est prêt à crever l’écran.
Tour à tour sensuel, émouvant, ou encore mystérieux. Friedrich joue avec une impressionnante justesse le rôle d’un ourson superstar qui cache de la drogue. Son talent impressionne et séduit. Il devient rapidement la coqueluche des actrices.
Faisant naitre la jalousie chez ses partenaires masculins, pour lesquels il devient l’ourson à abattre.
Trop de pression, Friedrich craque et décide de continuer le tournage du côté des techniciens. Il donne un coup de patte partout. Petit passage derrière la caméra…
à la lumière…
au son…
… et à la machinerie, où il a parfaitement tenu son propre rôle de:
« Friedrich, the travelling bear »
Après avoir débourbé deux fois un camion et rechargé deux fois la batterie d’un autre, nous avons pu rejoindre finalement Paris, petit village d’où nous étions partis.
Nous nous sommes reposés une journée au calme avant de repartir vers de nouvelles aventures… car Friedrich et moi aimons faire coup double.